Les équipes de la LRF

Ici, de manière régulière, vous allez trouver, dorénavant, un petit aperçu, inspiré par les retours de chaque équipe de la LRF au questionnaire. Un petit rappel aux équipes qui voulaient encore nous l'envoyer. 

L'hiver approche, la neige est annoncée et la ligue fait son hibernation.
Et, puisque nous parlions d'hibernation, la première édition est consacrée aux Ours. Ainsi, ils ne râtent pas leur précieux sommeil et seront au retour en pleine forme pour la saison de 2025!

Il s’agit d’un ensemble de copains qui jouent ensemble depuis 2010. Le nom vient de la place de l’Ours, près des terrains de Béthusy, où ils jouent régulièrement. Jouer dans la LRF leur apporte une superbe ambiance sur le terrain dans l’écrasante majorité des cas. Un grand merci aux organisateurs au nom de l’équipe ! 
Un autre point fort LRF? « Des douches dont la température varie entre +60 et 2’000 degrés ! »

Selon Thibaud, le skipper « emblématique et irremplaçable » de l’équipe, « l’esprit Ours », c’est une composition où chacun joue environ le même nombre de minutes et où personne n’est irremplaçable - hormis Adri, le seul et unique gardien, après la retraite anticipée de Charlie. Au niveau des postes, la flexibilité prime et l’équipe fait avec les moyens du bord quand les protagonistes arrivent sur le terrain. C’est souvent le jeu « arriver à 11 ».

« Les couleurs des maillots étaient choisies après de longues discussions et un vote démocratique sous contrôle de représentants des Nations Unies, comme presque chaque décision des Ours. »

Ils jouent pour le plaisir et, puisqu’on ne le fait jamais assez, favorisent les tirs à distance, sur les terrains qu’ils leur sont attribués – un peu d’herbe pas trop pentu fait plaisir à ces « tuttivores »
L’entente est primordiale chez les Ours ; même si certains peuvent sembler parfois, et très rarement, « quelque peu bourrus ». Le bon esprit et l’amour inconditionnel de la troisième mi-temps, bien entendu, strictement à celle de la LRF, restent les maîtres mots de la meute. Ainsi que le chant, ou plutôt le cri de motivation emblématique, qui hante encore les bois du Chalet-à-Gobet: « Qui c'est qui va gagner?? OURS ! Qui c'est qui a 3 points ??

Pour assurer les 3 points à chaque match, ils ont tenté les entraînements réguliers… Mais, hélas cela n’aboutait pas. Reste, pour améliorer le jeu et garantir une continuité de l’équipe, la bourse des joueurs, car, avec l’âge du noyau dur qui avance. Mais cela se fait « bon gré mal gré » - la source principale vient des plus jeunes collègues, amis et connaissances ou, parfois, via l’intermédiaire d’agents de joueurs très coûteux, si les petites annonces sur les murs de l’UNIL ne marchent pas.

On attend impatiemment les prochains « haut profils » sur leur feuille de match!